Une assurance contre l'incapacité de travail : intéressante ou pas ?

Vous vous coupez en quatre au quotidien pour votre entreprise. Tomber malade? Avoir un accident? Ce n'est pas prévu au programme. Erreur. En effet, les risques d'être en incapacité de travail sont plus élevés que vous ne le pensez. Au cours des 20 dernières années, le nombre de travailleurs tombés en incapacité d'une maladie ou d'un accident a doublé dans notre pays. 

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Des malentendus entourent l'incapacité de travail et la protection

Des malentendus persistants entourent la protection contre les maladies et les accidents. Il est grand temps de lever ces obstacles et d'éviter ainsi des situations pénibles à de nombreux indépendants.

Malentendu 1 : « Je ne deviens tout de même pas indépendant(e) pour tomber malade. »

Votre passion d'indépendant(e) est légendaire. Ce dévouement assure que vous ne laissez pas une petite douleur ou une grippe vous mettre hors circuit. Les chiffres le démontrent, noir sur blanc.


Entre 1996 et 2016, le nombre d'incapacités de travail parmi la population active belge a doublé. Fin 2017, notre pays a franchi le seuil des 400.000 malades de longue durée. Parmi ceux-ci, 380.000 personnes étaient fonctionnaires ou employés. Autrement dit, les indépendants ne représentent que 5 % de ce total.


Cela ne signifie pourtant pas que les indépendants tombent malades ou sont victimes d'un accident moins souvent. Au contraire même, l'incapacité de travail de longue durée, c'est-à-dire de plus de 30 jours, touche 10 % de la population active totale, que vous soyez indépendant(e), fonctionnaire ou employé(e). Le maigre filet de sécurité sociale pour les indépendants explique pourquoi les entrepreneurs doivent encaisser si durement. Si vous ne travaillez pas, vous ne gagnez rien. C'est aussi simple que cela.


De plus, de nombreux indépendants sous-estiment les risques. Derrière son écran, un consultant en informatique court en effet moins de risques qu'un peintre qui monte chaque jour sur une échelle. Toutefois, des troubles musculo-squelettiques ou une épicondylite peuvent également provoquer une incapacité de travail. Et vous ne seriez pas le premier indépendant qui tombe à vélo lors d'un rare jour de congé. Vous n'avez pas d'emprise sur votre santé. Voilà pourquoi vous protéger est une décision intelligente.

Malentendu 2 : « À quoi sert de payer des cotisations sociales ? »

Vos cotisations sociales vous garantissent en effet des droits sociaux, y compris une protection contre la perte de salaire en cas d'incapacité de travail soudaine. De plus, la mutualité rembourse également une partie de vos frais médicaux. Enfin, vous pouvez également demander une dispense des cotisations sociales. Vous ne payez pas de cotisations sociales pendant cette période, tandis que vous conservez tous vos droits sociaux.

Toutefois, le montant de ceux-ci est si modeste que vous perdez sensiblement en qualité de vie. Prenez par exemple l'indemnité légale que vous recevez. Brut, par mois, elle correspond à :

  • en tant qu'indépendant cohabitant : 1.010 euros
  • en tant qu'indépendant isolé : 1.317 euros
  • en tant qu'indépendant avec enfants à charge : 1.654 euros


Votre incapacité de travail s'élève à plus d'un an ? Vous recevez alors une indemnité d'invalidité. Si vous ne pouvez vraiment plus prendre soin de vous, vous aurez droit à une allocation supplémentaire pour l'aide et l'assistance.

Avec ces indemnités, vous devez payer tous les frais : maison, électricité et chauffage, transport et études des enfants. C’est presque mission impossible. Une assurance complémentaire contre l'incapacité de travail n'est donc certainement pas un luxe. Si vous vous retrouvez hors jeu, elle est tout simplement vitale.

Malentendu 3 : « Une telle assurance contre l'incapacité de travail n'est-elle pas trop chère pour moi ? »

Les starters réfléchissent à deux fois avant de dépenser le moindre euro. Et à juste titre. strong>Votre revenu est souvent faible, ce qui vous oblige à limiter autant que possible les coûts. C’est précisément parce que vos revenus sont si limités que vous ne devez pas courir le risque de les perdre.Sinon, des ennuis financiers s’annoncent en plus de votre incapacité de travail.

D'ailleurs, saviez-vous qu'il est très intéressant de commencer sa protection le plus tôt possible ? Plus vous êtes jeune, plus votre prime est faible. BDe plus, l'assurance est fiscalement très intéressante. Vous pouvez déduire intégralement les primes de vos impôts. Grâce à elle, vous payez non seulement moins d’impôts, mais aussi moins de cotisations sociales. Comme vous pouvez le constater dans ce tableau, au final, l'État paie – selon votre situation – jusqu'à 64 % de la protection à votre place. Une couverture en cas d'incapacité de travail est donc un investissement rentable garanti. Même pour les starters.

Malentendu 4 : « Les assureurs rendent délibérément le produit complexe et opaque. »

Ce n'est heureusement pas le cas de tous les acteurs du marché. Xerius fait de la communication transparente et claire son fer-de-lance. Nous ne sommes pas une SA dont les actionnaires cherchent exclusivement le profit, mais une association qui place vos intérêts d'indépendant(e) au cœur de ses préoccupations.Si nous réalisons des bénéfices, nous les utilisons intégralement pour offrir une meilleure protection à nos clients, vous. Vos intérêts passent toujours en premier, et vous le remarquez dans chaque détail de notre travail. Il en va de même pour votre protection en cas d'incapacité de travail.

Découvrez la protection en cas d'incapacité de travail qui vous convient.

10 bonnes raisons de vous protéger dès aujourd'hui contre l'incapacité de travail chez Xerius


1. Vous dormez toujours sur vos deux oreilles, partout dans le monde

Votre protection en cas d'incapacité de travail s'applique 24 heures sur 24, 365 jours par an. Et ce, partout dans le monde et quoi que vous fassiez, que ce soit sur le plan privé ou professionnel. Pour ne citer d’un exemple, votre assurance en cas d'incapacité de travail vous protège notamment durant votre randonnée sac au dos dans les Vosges.

2. Vous bénéficiez d'une garantie invalidité étendue

À partir de 66 % d'incapacité de travail, vous percevez une indemnité complète. Vous reprenez le travail à temps partiel ? Dans ce cas, vous continuez à percevoir une indemnité en fonction du pourcentage de votre incapacité de travail. La prestation cesse lorsque votre incapacité de travail passe sous la barre des 25 %.

3. La protection est plus abordable que vous ne le pensez

Le montant de la prime que vous payez dépend de plusieurs facteurs :

  • l'indemnité que vous souhaitez percevoir en cas d'incapacité de travail. Pour cette « rente », vous pouvez assurer jusqu'à 80 % de vos revenus nets. Plus votre rente est faible, plus votre assurance sera abordable.
  • la rapidité avec laquelle vous voulez recevoir l'indemnité. Après un mois d'incapacité de travail ? Peut-être préférez-vous d'abord puiser dans vos réserves et opter pour le versement d'une indemnité après 3, 6, voire 12 mois ? Plus cette « période de risque propre » sera longue, moins votre assurance sera coûteuse.
  • la durée de votre assurance. Généralement, une assurance Revenu garanti reste en vigueur jusqu'à ce que vous atteigniez l'âge de 65 ans. Pour une bonne raison, par exemple la retraite anticipée, vous pouvez également opter pour un contrat jusqu'à 60 ou 55 ans, ce qui est légèrement plus abordable. Tenez toutefois compte de la durée minimale de 10 ans.

Comme vous le constatez, vous avez un impact considérable sur le montant de votre prime. En outre, gardez toujours à l'esprit que vos primes sont déductibles fiscalement à 100 %. Réduisez vos impôts, tout comme vos cotisations sociales. Grâce à cela, vous pouvez récupérer jusqu'à 64 % de la prime totale. Pour couronner le tout, vous ne payez aucune taxe d’assurance sur vos primes.

Conseil : de préférence, réglez votre prime annuelle en une seule fois. Moins vous fractionnez le paiement, moins vous payez.

4. Plus vous commencez tôt, moins vous payez de primes

Ce qui est logique, car quand on est jeune, on court moins de risques d'être en incapacité de travail. Mieux vaut dès lors commencer cette protection dès à présent, parce qu'elle ne fera qu'augmenter à l'avenir. La stabilité des primes vous offre une garantie unique : vous payez toujours le prix le plus bas. Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet au point suivant.

5. Votre prime ne vous réserve pas de surprises désagréables

Dans le cas de certains contrats, vous avez l’assurance que votre prime restera la même pendant toute la durée du contrat. Vous ne recevrez aucune majoration soudaine ou prime de risque cachée dans votre boîte. Grâce à cette stabilité des primes, vous saurez toujours à quoi vous attendre.

6. Recevez le revenu de remplacement jusqu'à votre pension

De plus en plus de polices offrent une couverture jusqu'à votre pension. Toutefois, bon nombre d'entre elles arrêtent déjà de verser le revenu de remplacement à partir de 60 ans. Autrement dit, 5, 6 voire 7 ans avant votre départ à la pension. Méfiez-vous de ce point lorsque vous signez un contrat.

7. Vous pouvez combiner la protection avec la constitution d'une pension complémentaire

L'incapacité de travail n'est pas le seul élément qui menace votre niveau de vie. Votre pension légale aussi. Après avoir travaillé dur pendant toute votre carrière, vous percevrez, en tant qu'indépendant(e), une pension minimale absolue d'à peine 860 euros par mois.

Voilà pourquoi vous pouvez combiner la protection en cas de maladie ou d'accident avec la constitution d'une pension complémentaire.. Pour ce faire, vous disposez d'une solution appelée la PCLI sociale : la pension complémentaire libre pour indépendants sociale. Vous consacrez alors une partie de votre prime à la constitution d'un capital de pension complémentaire et l'autre partie à la protection en cas d'incapacité de travail. Le capital pension vous est versé au début de votre pension légale. La PCLI sociale vous offre un bel avantage : en cas d'incapacité de travail, la constitution de pension complémentaire se poursuit normalement.

Bien entendu, vous pouvez également souscrire aux deux protections séparément : une PCLI pour votre constitution de pension et une assurance Revenu garanti pour votre protection du revenu.

8. Vous n'êtes pas tenu de vous soumettre à un examen médical approfondi pour chaque assurance en cas d'incapacité de travail

Pour certaines couvertures, il suffit de répondre à un bref questionnaire. En outre, tous les assureurs n'utilisent pas de liste limitative des affections. Avec eux, vous pouvez donc également bénéficier d'une protection lorsque votre affection ne figure pas sur la « liste des 30 maladies graves ».

9. Vous êtes tout à fait libre dans les paiements et le choix de produit

Chaque année, Xerius vous propose la prime optimale sur le plan fiscal. Il s'agit du montant qui vous assure une protection en cas d'incapacité de travail, qui vous permet de constituer un capital pension de manière optimale et qui vous fait économiser le plus d'impôts. Toutefois, vous n’êtes absolument pas tenu(e) de payer ce montant. Vos affaires marchent un peu moins bien pour le moment ? Dans ce cas, n'hésitez pas à verser moins.

Vous êtes aussi totalement libre de choisir votre produit. Si votre situation change, par exemple parce que vos revenus ont augmenté ou diminué, vous pouvez facilement passer à une autre solution. Tout en conservant votre capital épargné, bien sûr.

10. Nos experts sont toujours à votre service

L'assurance en cas d'incapacité de travail est le produit complexe par excellence. Voilà pourquoi nos experts se font un point d'honneur à vous expliquer la solution dans les moindres détails. Après leurs explications, vous saurez parfaitement en quoi consiste la protection : garantir que votre famille et vous puissiez continuer à vivre confortablement, même si vous n’êtes pas en mesure de travailler pendant une période prolongée en raison d'une maladie ou d'un accident. N'hésitez pas à contacter nos spécialistes pour de plus amples informations.

Prenez rendez-vous sans engagement

Choisissez dès à présent la protection adaptée à vos besoins

Cet article vous le prouve : la protection contre la perte de revenu est vitale pour tout indépendant. L'indemnité de votre mutualité ne vous permet pas de garder financièrement la tête hors de l'eau. Vous n'avez jamais besoin de l'assurance ? Dans ce cas, vous bénéficiez quand même d'un avantage fiscal substantiel. De plus, si vous choisissez de combiner le produit avec la constitution d'une pension complémentaire, vous vous assurez directement un beau capital pour la suite.

Vous venez de démarrer ? Combinez la couverture en cas d’incapacité de travail avec la constitution de pension complémentaire.

Xerius vous offre pour cela une formule unique : Xerius Planet4Life. Cette PCLI sociale est la forme de protection la plus abordable et fiscalement avantageuse en cas d'incapacité de travail sur le marché belge. En cas d'absence de longue durée en raison d'une maladie ou d'un accident, vous recevez un revenu de remplacement complet, tout en constituant une pension complémentaire intéressante. Cette solution exclusive est disponible uniquement chez Xerius.

Vous préférez plutôt investir intégralement dans votre protection en cas d'incapacité de travail ?

Dans ce cas, l'assurance Revenu garanti est faite pour vous. Vous pouvez adapter parfaitement la protection à vos besoins et à votre situation d'indépendant(e) à titre principal, d'indépendant(e) à titre complémentaire ou de conjoint(e) aidant(e).

Vous avez une entreprise personne physique ?

Vous assurez la majeure partie du chiffre d'affaires de votre société ? Optez alors pour une assurance chiffre d'affaires qui protège votre entreprise lorsque vous êtes hors course. Vous récupérez alors jusqu'à 60 % de votre chiffre d'affaires.

L’arbre et la forêt

Il est assez complexe de trouver une bonne couverture incapacité de travail. Prenez rendez-vous avec votre expert et demandez-lui une solution sur mesure, sans obligation.